L’archéologie interdite, regroupe toutes les découvertes archéologiques qui ne cadrent pas avec l’histoire. Considérée comme un fantasme pour les uns, ou comme une vérité masquée pour les autres, l’archéologie en général, est un terrain glissant, qui continue à susciter de grands débats.
Dans cet article, nous allons voir deux récits parus dans les journaux, qui remettent directement en cause l’histoire de l’humanité. Le premier a été publié en 1909, dans l’Arizona Gazette. Le deuxième en 1885 dans le New York Times.
Or, ces deux articles de presse mentionnent une découverte ahurissante, que l’on pourrait qualifier d’archéologie interdite.
Bien évidemment, ces récits surprenants sont généralement relégués au rang de mythes.
Toutefois, à la tête de ces découvertes nous retrouvons la Smithsonian Instituion. Or, à cette époque, cette institution est la seule institution scientifique en tant qu’organisme d’État responsable, au service de la science et de la connaissance.
Face à ces deux récits, la Smithsonian Institution, nie toute implication.
Doit-on vraiment remettre en cause ces récits ? La Smithsonian Institution, dit-elle la vérité ? Où est-elle aux commandes d’un des plus gros secrets de l’histoire ? Chacun se fera son opinion à la fin de cet article.
L’archéologie interdite, l’histoire des grottes de l’Arizona.
Tout a commencé avec l’explorateur John Westly Powell, il fut l’auteur de la première expédition géographique en 1869, lors d’un raid de trois mois, sur les rivières Green et Colorado. Powell travaillait sous le compte de la Smithsonian Institution. Lors de cette aventure, il offrira son nom au célèbre lac Powell.
Or, Powell avait déjà mentionné l’existence de grottes le long du Colorado. Mais les conditions d’accès étaient très difficiles. C’est pour cette raison qu’à l’époque, ces tunnels n’étaient pas la priorité de la Smithsonian Institution.

D’étranges tunnels le long du Colorado, certains se trouvent à plusieurs centaines de mètres de hauteur.
Il aura fallu attendre 40 ans et l’arrivée d’équipements spéléologiques pour permettre l’accès à ces ouvertures dans la roche.
G.E Kinkaid, sur les traces de Powell.
L’histoire concernant les grottes de l’Arizona, va mettre en scène l’explorateur G.E Kinkaid. Un homme qui travaillait également pour le compte de la Smithsonian Institution depuis 30 ans.
Kinkaid était donc sur les traces de Powell, et voyageait le long du Colorado à la recherche de minéraux.
Cependant, lors de son exploration Kinkaid est tombé sur ce qu’il pensait être une tâche sur les parois du Grand Canyon. Mais en observant de plus près, l’explorateur s’aperçut qu’il était face à l’entrée d’une caverne. Les mêmes cavernes que mentionnait Powell.
Face à cette découverte, Kinkaid va réussir à pénétrer dans ces tunnels. Il va ainsi raconter son récit dans le média local L’ Arizona Gazette.
Cependant, les révélations de Kinkaid sur ces tunnels vont faire l’effet d’une bombe dans ce journal local considéré comme sérieux. En effet, l’Arizona Gazette traite habituellement de petites histoires locales et n’a nullement l’habitude de publier des titres à sensation.
Toutefois, le 5 avril 1909 ce journal va publier un article avec un titre accrocheur. «Explorations in Grand Canyon » Puis, avec un lettrage légèrement plus petit, on peut lire : « Les mystères d’une immense caverne riche en lumière ».
De plus, l’article mentionne le nom d’une autre personne, le professeur Jordan, qui se dit enthousiaste par cette découverte. Nous verrons plus tard, en quoi ce nom à de l’importance.

Article du 5 Avril 1909 de l’Arizona Gazette, sur une incroyable découverte dans l’Arizona, mentionnant les noms de Kinkaid et de Jordan.
Le récit de Kinkaid tel qu’il est mentionné dans l’Arizona Gazette, classe cette histoire dans l’archéologie interdite.
Le récit de Kinkaid rapporté dans l’Arizona Gazette.
Tout d’abord, je voudrais insister sur le fait que le tunnel est difficilement accessible. L’entrée culmine à 456 mètres au-dessus de la rivière, sur le flanc de la falaise qui surplombe le canyon dans un secteur géographique appartenant au gouvernement.
L’accès n’est donc pas autorisé aux touristes sous peine d’amende et d’expulsion.
Je descendais le fleuve Colorado dans un petit bateau à la recherche de minéraux. À environ 67km en amont de la rivière depuis le canyon du cristal d’El Tovar, j’ai vu sur le mur de la falaise, des tâches inhabituelles dans la formation sédimentaire.
Cette entrée était presque invisible, car elle était camouflée par une épaisse végétation d’arbustes. Mais juste en dessous de l’ouverture, il y avait encore quelques vestiges de marche qui m’ont laissé penser que jadis on pouvait accéder à cette grotte.
J’étais certain que ce lieu avait été visité par des hommes il y a fort longtemps.
J’ai fait deux pas vers l’intérieur et j’ai vu des marques faites au ciseau sur les murs. Par réflexe, j’ai serré le couteau que je portais à la ceinture avec mon poing et mon cœur s’est emballé. Puis je suis entré.
Les murs semblaient ciselés et taillés à la main. J’ai marché quelques minutes avec une bougie allumée et je suis arrivé dans la grotte principale. Elle semblait s’enfoncer dans les profondeurs de la terre pendant environ 200 mètres. Plus je descendais, plus je découvrais de vastes chambres qui apparaissaient au détour de nouveaux tunnels.
De chaque côté des couloirs se trouvaient un certain nombre de pièces d’environs 9m sur 12. On y pénétrait par des portes de formes ovales. Certains couloirs étaient ciselés ou taillés aussi droit que pourrait le faire un ingénieur.
Puis je suis tombé sur ce qui semblait être un sanctuaire regorgeant d’artefacts, dont aucun ne provenait de cette région ou de tribus originaires de cet état.
Une découverte inattendue.
Au milieu de la pièce se trouvait la statue d’une idole ou plutôt l’image d’une déité assise en tailleur avec une fleur de lotus dans chaque main. Elle mesurait environ 3m de hauteur et ressemblait à un bouddha, comme ceux que l’on trouve chez les Tibétains.
Le Bouddha était sculpté dans une roche dure ressemblant à du marbre, et dans le coin opposé, il y avait des outils en cuivre, du charbon de bois et d’autres matériaux probablement utilisés dans la fabrication du cuivre.
Les autres pièces étaient pleines d’objets étranges. Parmi ces artefacts figuraient des vases, des urnes, et des tasses en cuivre. Il y avait aussi des objets émaillés et des récipients vitrifiés.
Mais c’est dans une autre salle que j’ai fait les découvertes les plus étranges. Il y avait des murs décorés avec des hiéroglyphes de type égyptien. C’était impensable de trouver cela ici. Comment était-ce possible ?
Puis, est venue une autre trouvaille assez macabre au fond d’un couloir humide. Il y avait là une sorte de crypte avec des rangées de momies. Il y avait aussi des urnes funéraires très fines, preuve que ces gens-là avaient atteint un stade avancé de civilisation.
Certaines momies étaient recouvertes d’argile et toutes étaient enveloppées dans un tissu d’écorces naturelles.
J’avais l’impression qu’il n’y avait que des hommes, car je ne voyais pas de gabarits correspondants à ceux de femmes ou d’enfants, ce qui m’a laissé penser que ça pouvait être une salle des guerriers.
Certaines zones étaient tout simplement impénétrables effrayantes et potentiellement dangereuses.
À un moment, je suis entré dans une chambre qui ne semblait pas ventilée, j’ai senti une odeur pestilentielle. Je suis tout de suite ressorti sans aller voir ce que contenait cette chambre. J’ai pensé qu’elle pouvait contenir un gaz mortel.
Durant l’exploration, je n’ai entendu aucun son, seules ma lampe torche et mes bougies m’ont aidé face à l’obscurité.
Une mystérieuse civilisation semblait avoir vécu ici, bien avant les peuples autochtones de la région qui sont peut-être les descendants de ces gens-là.
Le réseau est si vaste que j’estime qu’environ 50 000 personnes auraient pu vivre confortablement dans ces cavernes. Nul ne sait depuis quand ils étaient là, combien de temps ils sont restés et d’où ils sont venus.
Cette découverte s’avérera d’une valeur incalculable pour les archéologues.
Quand j’ai quitté les lieux, j’ai rassemblé un certain nombre de reliques que j’ai transporté dans l’Arizona jusqu’à Yuma. Puis je les ai expédiés à Washington avec les détails et le récit de ma découverte.
J’ai mentionné dans la conclusion du rapport les momies, les hiéroglyphes et l’idole qui ressemblait à un bouddha. Cela montrait que la race qui vivait ici pouvait avoir des origines orientales, peut être égyptienne.
Certes, on peut concevoir que ce récit parait invraisemblable.
Cependant, il n’y a jamais eu de suites à cet article. La Smithsonian Instituion n’a jamais fait de rapport officiel. Il n’y a rien, le sujet est clos. Et nous n’entendrons plus jamais parler de G.E Kinkaid. Sommes-nous face à une dissimulation pour qu’un tel récit s’achève brusquement ?
Le démenti de la Smithsonian Institution.
Bien évidemment, la Smisthsonian Instituion déclare n’avoir jamais eu de Kinkaid parmi leurs effectifs, ni de professeur Jordan, et ne fait mention d’aucun raid dans le Colorado.
Cette institution gouvernementale américaine continue, et continuera de nier cette découverte. Elle affirme également qu’elle ne détient aucun artefact transmis par Kinkaid. Ce récit s’est ainsi transformé en légendes urbaines. (source: Smithsonian Institution)
Pourtant, le nom du professeur Jordan sera retrouvé dans d’autres articles mettant en scène la Smithsonian Institution.

Cet article déclare que le professeur Jordan va refuser le poste de secrétaire général à la Smithsonian Institution en 1907.
Il est parfaitement légitime d’émettre l’hypothèse que la Smithsonian Instituion ai participé à la dissimulation des preuves archéologiques, en niant l’existence de ce professeur Jordan. Pourtant, cet article déclare que le professeur Jordan va refuser le poste de secrétaire général à la Smithsonian Institution en 1907. Soit deux années avant la découverte mentionnée dans l’Arizona Gazette.
Une autre particularité vient s’ajouter à cette histoire. Selon la légende indienne hopi, originaires de ce territoire, leurs ancêtres vivaient autrefois sous terre dans le Grand Canyon jusqu’à ce que les gens d’un seul cœur et les gens de deux cœurs commencent à se battre. (Source: Revue des sciences humaines)
Il est également intéressant de noter que tant de caractéristiques du parc portent des noms égyptiens.
Tour de Set, Tour de Ra, Temple Horus, Temple Osiris et Temple Isis, ainsi que des endroits dans le Canyon hanté avec des noms comme la pyramide de Khéops, le cloître du Bouddha, Temple du Bouddha, Temple Manu et Temple Shiva.
De plus, la zone où cette ville cachée est censée être située, est en réalité interdite au public, car elle est située sur les terres du gouvernement. Il est interdit de pénétrer dans ces tunnels, mais également de survoler la zone avec un drone. (document PDF anglais)
Il existe deux versions pour expliquer ces noms. Certains avancent que la plupart de ces noms ont été donnés par les Indiens hopis.
D’autres mentionnent que les premiers explorateurs aimaient tout simplement les noms Égyptiens.
Or, quand on voit la taille de cet immense continent découvert par les explorateurs, on est en droit de trouver curieux, de voir que tous ces noms égyptiens aient été attribués à cet endroit même. Dans une zone fermée au public, dans une zone où un média fait une annonce fracassante, dans une zone où la légende des Indiens hopi mentionne l’existence de ce peuple. Serions-nous face à une série de hasard ?
Mais, nous allons voir un second article, avec une histoire assez similaire, qui s’est déroulé 20 ans avant l’article de l’Arizona Gazette. Là encore, l’article du New York Times met en scène la découverte d’une ville souterraine en 1885. Or, cette découverte a également été rapportée à la Smithsonian Institution.
Archéologie interdite, la découverte d’une ville souterraine.
Tout commence le 9 avril 1885, un article surprenant mentionne la découverte d’une ville souterraine. Cette ville se trouve à 110 mètres de profondeur, après le creusement d’un puits d’une mine de charbon. (source : New York Times 9 avril 1885 )
L’article nous révèle que cette incroyable découverte fut réalisée par l’historien de la ville Moberly, ainsi que le Marshall George Keating. Les deux hommes et des ouvriers les accompagnant, ont creusé dans les profondeurs jusqu’à une découverte incroyable.
Après avoir traversé une épaisse couche de roche, les expolarateurs sont tombés sur une ville enterrée. Des rues sont disposées régulièrement et entourées de murs de pierre qui sont taillés dans un style de maçonnerie un peu grossier.
Une salle de 10m sur 30 a été découverte avec des bancs en pierre et des outils de toutes sortes.Une recherche plus poussée a révélé des statues faites d’une composition ressemblant étroitement au bronze.
Une fontaine en pierre a été retrouvée, située dans une large cour ou rue, et de là coulait un ruisseau parfaitement pur, fortement imprégné de chaux.
La découverte d’un squelette hors norme.
À la base de la fontaine se trouvaient les parties du squelette d’un être humain. Les os de la jambe mesuraient pour le fémur, 1,37m. Le tibia 1,31m, montrant que de son vivant la personne mesurait trois fois la taille d’un homme ordinaire, et possédait une puissance musculaire extraordinaire.
Les os crâniens s’étaient séparés en deux endroits, les sutures sagittales et coronaires ayant été détruites.
Les outils retrouvés comprennent des couteaux en bronze et en silex, des marteaux en pierre et en granit, des scies métalliques d’un travail grossier, mais prouvé comme étant en métal. D’autres de caractère similaire, ne sont pas aussi bien polis, ni aussi précisément fabriqués que ceux qui sont maintenant réalisés par notre industrie.
Mais ils montrent l’habileté et la preuve d’une très belle civilisation avancée. Ces faits, ont été attestés par le marshal de la ville.
La suite de l’article nous apprend que l’exploration n’a duré que douze heures dans cette ville souterraine. Le manque d’huile dans les lampes ont obligé ces explorateurs à mettre un terme à cette première expédition.
Cette histoire rocambolesque, s’achève sur cet article. Aucun compte-rendu, ni aucune autre tentative d’expédition ne seront mentionnés par la suite. Quelques jours plus tard, tous les articles de presse affirmeront que tout ceci n’était qu’un canular.
Ville souterraine de Moberly vérité ou canular ?
Deux hypothèses s’offrent à nous. Soit, il s’agit d’un canular de la part du Marshal, et des hommes qui l’accompagnaient. Un fait annoncé, dans un article du Daily Pharos, deux jours plus tard le 11 avril 1885.
S’en suivront d’autres articles de presse durant tout le mois d’avril, remettant ces faits comme un « canular d’avril ».
Mais, dans ce cas quel aurait été le but de ce canular ? Ruiner sa propre réputation en tant que Marshal de la ville ? On a du mal à imaginer un agent de police du gouvernement fédéral, faire un poisson d’avril.
Soit, les faits sont avérés, et tout a été mis en œuvre pour ne pas ébruiter cette découverte archéologique interdite.
Car en effet, la découverte de cette ville souterraine a été rapportée à la Smithsonian Institusion, que nous retrouvons également sur cette affaire.
Or, c’est tout à fait légitime de se poser des questions, lorsque l’on est face à deux articles de presse, qui mentionnent les découvertes d’une civilisation antérieure. Or, à deux reprises, la Smithsonian institution est directement mêlée à ces découvertes.
Des faits qui ne collent pas avec l’histoire.
Lors de cette découverte, nous sommes en 1885, la vision scientifique du monde est déjà bien établie. Le livre de Charles Darwin « l’origine des espèces » a été publiée en 1859 et venait apporter les réponses aux questions « Qui sommes nous ? » et « D’où venons-nous ? »
Ce livre, accepté par le consensus scientifique proposait une nouvelle histoire sans faire appel aux interprétations bibliques, ni aux enseignements religieux.
On peut concevoir que la découverte d’une civilisation avancée antérieure dérange au plus haut point, car elle ne colle absolument pas avec la théorie de Darwin.
Le milieu scientifique forge sa réputation sur la crédibilité, qui est un point capital pour ces chercheurs. Or, les histoires d’archéologie interdite n’ont aucune crédibilité pour les scientifiques, car elle ne cadre absolument pas avec la science.
Et bien évidemment, une nouvelle découverte signifie une nouvelle histoire, qui selon les partisans de cette théorie, serait gardée secrète par la Smithsonian Instituion.
Qu’est-ce que la Smithsonian Institution ?
Le Smithsonian a été créé en 1829 lorsqu’un Britannique excentrique, du nom de James Smithson, mourut en laissant 515.169 $ pour créer une institution en vue d’un accroissement de la connaissance et de sa diffusion parmi les hommes.
Son vœu, compromis par un procès entre le notaire et ses héritiers en ligne indirecte, ne se réalise que dans les années 1840, lorsque des membres du Congrès des États-Unis, se décident à s’enquérir de ce curieux legs.
En 1846, le Congrès publie un acte signé comme loi le 10 août 1846 par le président James Knox Polk établissant officiellement l’institution sous forme d’un partenariat entre privé et public.
La Smithsonian Institution devient ainsi une institution de recherche scientifique, créée sous l’égide de l’administration américaine en 1846. (wikipedia)
À l’encontre des théories officielles.
Toutefois, l’histoire telle que l’on nous l’enseigne dans les écoles ne fait pas l’unanimité.
En 2004, le conseil scolaire de Douvres, en Pennsylvanie, a voté pour exiger que ses professeurs de sciences de 9e année lisent une déclaration remettant en question la validité de la théorie évolutionniste. Source: Plos Biology
Il faut savoir qu’aux États-Unis, l’enseignement de la théorie de l’évolution, ne fait pas l’unanimité au sein des enseignants. Environ 60% des enseignants interrogés ont déclaré minimiser l’évolution, la couvrant de manière incomplète ou l’ignorant complètement. (Source : Los Angeles Times)
Mais, l’histoire telle qu’elle est enseignée, est également remise en cause au sein de la communauté scientifique.
En juillet 2015, une pétition a été signée par 1 371 scientifiques du monde entier. Cette pétition se lit ainsi :
« Nous avons des doutes au sujet de la théorie qui avance que la complexité de la vie est due à une mutation aléatoire et à une sélection naturelle. Un examen attentif des éléments de preuve de la théorie darwinienne doit être encouragé »
source: dissentfromdarwin.org
Archéologie interdite, vérité ou canular ?
Que savons-nous sur nos origines ? De plus en plus d’incohérences sur l’histoire de l’homme voient le jour. Nous avions déjà abordé différentes hypothèses dans cet article « Les incroyables similitudes observées parmi les civilisations anciennes« . Il semblerait que ces récits, s’ils sont avérés, viennent confirmer cette hypothèse.
L’archéologie interdite, canular ou complot ? À chacun sa version.
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Bonjour,
Qu’il y ai eu d’anciennes civilisations très développées, ne va pas à l encontre de la théorie de Darwin
L’histoire officiel écrite à 6000 ans avec les sumériens
Et quand bien même elle était présente il y a 15000 ans en Amérique Latine
Nous tous, Homo sapiens-sapiens , sommes sur terre depuis 330000 ans selon les toutes dernières inventions archéologiques au Maroc.
On a côtoyé pendant presque 300000 ans Homo sapiens -Neanderthalis, Homo Sapiens-Desinova, Homo Sapiens-Florensis et encore d autres a découvrir ou peut être même cachés
Et surtout 2 périodes glacières de 90000 et 60000 ans , en soit 2 fins du monde où les Glaciers ont eu le temps d’ éffacer les traces les plus fragiles …