Les découvertes archéologiques sont toujours surprenantes. Ces découvertes nous permettent de retracer l’histoire de nos ancêtres, de nous immiscer dans leur mode de vie, de mieux comprendre les pratiques ancestrales. Seulement, parmi ces découvertes archéologiques, certaines témoignent d’un sinistre passé.
Dans cet article, nous allons voir d’étonnantes fouilles archéologiques, qui ont laissé les chercheurs estomaqués, face à leurs découvertes.
Les découvertes archéologiques macabres les plus surprenantes.
- Le malchanceux de Pompéi
- Le sarcophage noir.
- La fosse de la mort.
- Enterrements de vampires.
- Les squelettes enchainés.
- Les décapités.
- Massacre au Kenya.
- Un enfant momifié.
- Le lac aux squelettes.
Le malchanceux de Pompéi.
Cette étonnante découverte archéologique a été baptisée « Le malchanceux de Pompéi ».
Pompéi est le site qui a été dévasté lors de l’éruption du Vésuve en l’an 79. Lors de la découverte de ce corps, les archéologues ont conclu qu’il avait été tué par la chute d’un rocher massif de 300kg. D’où le surnom « le malchanceux de Pompéi ».
Mais finalement, les dernières fouilles ont révélé que le crâne de l’homme était intact. Une nouvelle théorie suggère que l’homme serait finalement tué par les émanations de gaz.
«l’ex-homme le plus malchanceux de Pompéi», âgé d’environ 35 ans, présente un défaut physique qui devait le faire boiter. Il serait donc possible que ce handicap l’ait ralenti, le rendant plus vulnérable aux gaz nocifs et aux cendres.
Le Sarcophage Noir.
La découverte du sarcophage noire, en juillet 2018 a fait naitre les spéculations les plus folles. En effet, pour les superstitieux l’ouverture de ce tombeau allait déclencher une malédiction apocalyptique.
Son ouverture a révélé les restes de trois officiers égyptiens, baignant dans un étrange liquide brun. Certes, aucune malédiction ne s’est manifestée. Mais les superstitieux y voient dans la pandémie l’œuvre d’une malédiction.
La fosse de la mort.
La fosse de la mort a été découverte en France lors d’un projet de développement immobilier. Cette fosse vieille de près de 6000 ans a été trouvée près du village de Bergheim, qui se trouve près de la frontière avec l’Allemagne.
Cependant, l’horreur de la découverte se trouve dans le contenu de cette fosse.
« La découverte de Bergheim est le témoin d’un événement très violent, qui a eu lieu à un moment précis », a déclaré le co-auteur de l’étude Fanny Chenal, archéologue à l’Université de Strasbourg en France.
Les os se composaient de bras et de doigts coupés ainsi que de squelettes de nourrissons, d’enfants et d’adultes. Les chercheurs ont trouvé au moins sept bras, dont un chez un jeune adolescent. En plus des membres amputés, sept corps avaient été jetés dans la fosse, dont celui d’un homme d’âge moyen qui s’était fait couper le bras et avait subi un coup à la tête.
Aucune des fosses contemporaines trouvées dans le monde ne montre de tels signes de violence extrême.
Enterrements de vampires.
Parmi les découvertes archéologiques surprenantes, les chercheurs ont découvert sur un site polonais, un cimetière de vampires.
Les auteurs de cette découverte, ont analysé des fragments d’os du cimetière de Drawsko, un site polonais où des sépultures de vampires ont été trouvées.
Certaines personnes sur le site ont été enterrées avec des faucilles sous le cou ou des roches sous la mâchoire, pour les empêcher de se réanimer.
Les faucilles étaient destinées à décapiter les gens s’ils essayaient de se lever de la tombe, tandis que les rochers maintenaient leurs mâchoires fermées afin qu’ils ne puissent pas se nourrir des vivants.
Les squelettes enchainés.
Cette étonnante découverte archéologique, a fait ressurgir des corps ligotés, alignés les uns à côté des autres à proximité d’Athènes. Il y en a 80 dans cette fosse commune, dont 36 ont des chaînes de fer autour des poignets. Ces corps appartenaient à des prisonniers décédés entre environ 650 av. J.-C. et 625 av. J.-C., selon les archéologues.
Les corps découverts enchainés, la mâchoire béante, fait de ce site historique une découverte archéologique assez macabre.
Les décapités.
Un ensemble de squelettes découverts à York, en Angleterre, appartenait à des hommes de grande taille décédés avant l’âge de 45 ans. Ce qui les rend horribles, c’est qu’ils avaient tous également perdu la tête. Leurs têtes étaient enterrées avec eux, parfois sur leur poitrine, et parfois entre leurs jambes ou leurs pieds.
Une analyse génétique de sept des squelettes décapités a révélé que six étaient originaires de Grande-Bretagne, tandis que le dernier pouvait provenir du Liban ou de Syrie.
Ils datent entre le deuxième et le quatrième siècle apr. J.-C.. Ils auraient pu être des gladiateurs ou des militaires.
Massacre au Kenya.
Il y a environ 10 000 ans, quelque chose d’horrible s’est produit dans l’actuel Kenya. Vingt-sept personnes, hommes, femmes et enfants sont morts de traumatismes.
Les archéologues pensent que la taille du groupe indique qu’il y a eu une guerre ancienne. Une femme (représentée ici) a été retrouvée avec les deux genoux cassés, les mains tendues devant elle, ce qui a suscité des spéculations selon lesquelles elle aurait pu être ligotée.
Un enfant momifié.
Cette découverte archéologique tragique, a été réalisée en 1985 par des alpinistes en Argentine. Cette momie est celle d’un petit garçon d’environ 7 ans décédé il y a 500 ans.
Le rituel s’appelait capacocha et était pratiqué par les Incas. Ce rite sacrificiel est généralement considéré comme un moyen pour les Incas de s’assurer que les meilleurs d’entre eux soient « envoyés » rejoindre leurs divinités.
Les rites sacrificiels impliquaient des enfants d’une grande beauté physique et une parfaite santé en l’honneur des dieux; les rituels étaient accomplis pendant ou après des événements importants.
Les enfants choisis étaient drogués et condamnés à mourir de froid dans les montagnes.
Le lac aux squelettes.
Le lac aux squelettes situé dans les montagnes de l’Himalaya, est l’une des découvertes archéologiques les plus surprenantes. En effet, ce lac reste une énigme pour celui qui cherche à percer son secret.
Cet étrange lac est constitué d’une masse d’eau peu profonde remplie d’os humains. Seulement, les restes de corps retrouvés indiquent qu’ils ne sont pas tous arrivés là au même moment, ces corps proviennent de groupes distincts.
Les analyses d’ADN ont révélé trois groupes distincts. Là, où la découverte archéologique devient étrange, c’est que les 3 groupes de personnes sont arrivés au lac, plusieurs fois au cours d’une période de 1000 ans.
De plus, l’ADN a révélé que les ossements du lac aux squelettes appartenaient à des ethnies différentes.
La présence d’individus ayant des ancêtres typiquement associés à l’est de la Méditerranée suggère que le lac Roopkund n’était pas seulement un site d’intérêt local, mais attirait plutôt des visiteurs du monde entier.
Or aucun monument ou vestige n’a été retrouvé dans les alentours.
Pour plus de détails, vous pouvez consulter notre article, Le lac Skeleton, le plus grand mystère de l’Himalaya.
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