19/03/2024
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Percy Fawcett, l’incroyable histoire d’un explorateur à la recherche de la cité perdue de z.

Percy Fawcett est un explorateur britannique connu à travers l’ouvrage historique et biographique du journaliste David Grann « La cité perdue de z » publié en 2009 aux États-Unis.

Cet ouvrage retrace l’histoire passionnante de l’aventurier britannique célèbre pour ses explorations au cœur de l’Amazonie, à la recherche d’une cité perdue.

Cet homme guidé par son instinct et ses surprenantes découvertes va consacrer sa vie à rechercher ce qu’il appelle la cité perdue de Z.

Cependant au printemps 1925, l’explorateur pourtant habitué des lieux, ne donnera plus aucun signe de vie.

Au cours des soixante-dix années qui ont suivi sa disparition, de multiples expéditions ont été organisées afin de partir sur les traces de l’explorateur pour déterminer, en vain, les causes de sa disparition.

Mais le corps de cet explorateur n’a jamais été retrouvé, et son histoire a peu à peu sombré dans l’oubli.

Mais pourquoi Percy Fawcett était-il persuadé de trouver une cité perdue au cœur de l’Amazonie ?

Et si l’explorateur avait eu raison…

Percy Fawcett l’histoire d’un explorateur oublié.

Percy Fawcett est né en 1867 à Torqay, une ville anglaise sur les rives de la manche.

Percy Fawcett un explorateur Britannique
Percy Fawcett un explorateur Britannique

Il va commencer sa carrière au sein de l’armée britannique, où il obtiendra son brevet d’officier dans l’artillerie royale en 1886.

Au cours de sa carrière militaire, il effectuera diverses missions à Hong-Kong, au Sri Lanka en Afrique du Nord, ainsi qu’un séjour à Malte où il apprendra la topographie.

Percy Fawcett épousera Nina Agnes Paterson en janvier 1901. Ils auront deux fils, Jack et Brian et une fille Joan.

Mais en 1906, le militaire va être contacté par la société de géographie de Londres, afin d’établir une cartographie de la frontière entre le Brésil et la Bolivie.

Lors de cette première expédition en Amérique du Sud, Fawcett prend soin de décrire minutieusement dans des notes ce qu’il y voit. La géographie du Terrain, la faune et la flore locale, les modes de vie des travailleurs locaux, etc..

L’explorateur va ainsi effectuer six expéditions entre 1906 et 1913 dans le but de transcrire la cartographie détaillée de la Bolivie, et par la même occasion, faire part de la découverte de nouvelles zones encore inexplorées.

Au cours de ses expéditions, il va découvrir des paysages uniques et spectaculaires, comme les collines de Ricardo Franco. Un cadre qui donnera naissance au roman « un monde perdu » d’Arthur Conan Doyle.

Percy Fawcett va consacrer le reste de sa vie à l’exploration de ces mondes inconnus au cœur de l’Amazonie. Il était surtout amical avec les habitants par ses cadeaux, sa patience et son comportement courtois.

J’avais eu vent d’histoires fabuleuses attendant tout explorateur qui laisse derrière lui les zones productrices de charbon pour s’aventurer dans les forêts éloignées. Elles n’étaient point exagérées. On retrouve dans ces contrées sauvages des animaux et insectes inconnus ici et qui intéresseraient bon nombre de naturalistes et même des Indiens blancs.

Des rumeurs font état de pygmées, de mines perdues et de ruines anciennes. Rien n’a été exploré de ce pays au-delà de quelques centaines de berges ceinturant les cours d’eau. Percy Fawcett.

Mais ces récits sont accueillis avec un certain scepticisme par les membres de la société géographique.

Lors de l’expédition de 1907, Fawcett affirmera avoir vu et abattu un anaconda géant de 19 m de long, une affirmation pour laquelle il sera ridiculisé par ses pairs.

Illustration de Percy Fawcett face à un anaconda.
Illustration de Percy Fawcett face à un anaconda.

La cité perdue de Z l’origine du mythe.

La découverte de l’Amérique a toujours été associée à des légendes autour de mystérieuses cités.

Mais c’est à partir de 1539, suite au récit de Marcos de Niza que la ferveur autour de « cités d’or »va faire son apparition. En effet, ce moine franciscain envoyé en exploration en Amérique à prétendu avoir découvert l’existence de sept immenses et riches cités qui ne furent jamais retrouvées.

Le mythe a par la suite évolué en engendrant plusieurs autres légendes comme celui de l’Eldorado. Un mythe relayé par les conquistadores espagnols se basant sur les récits de Gaspar de Carjaval.

Curieusement, cette légende est aussi présente dans la culture précolombienne. Une fois par an, le chef de la communauté chibcha se recouvre d’or en poudre avant d’aller se baigner dans les eaux du lac Guatavita, pendant que les villageois y lancent des objets en or en vue d’apaiser un dieu se trouvant dans les profondeurs.

Les Espagnols ont alors baptisé ce chef doré El Dorado, « le doré ».

D’autres artefacts viennent apporter de la crédibilité au mythe, la balsa de oro. Le radeau d’or est une pièce d’orfèvrerie précolombienne fabriquée par la culture Muisca.

Le radeau d'or et la cérémonie de l'El Dorado.
Le radeau d’or et la cérémonie de l’El Dorado

La figure fait allusion à la cérémonie de la légende de l’El Dorado. Il représente l’acte d’investiture du pouvoir des chefs Muisca au cours duquel l’héritier de la chefferie se couvrait le corps de poussière d’or et, accompagné du peuple, jetait de l’or et des émeraudes en offrande aux dieux.

Cependant, les échecs à répétition de la part des conquistadores vont peu à peu mettre un terme à la légende.

Mais Percy Fawcett, pourtant loin d’être un illuminé, reste persuadé que l’Amazonie cache un secret. Et pour cause, l’explorateur possède des arguments pour étayer ses convictions.

Percy Fawcett et le manuscrit 512.

Au cours de ces excursions entre 1906 et 1913, Fawcett est marqué par certaines découvertes étranges qui le poussent à obtenir des réponses.

Il va trouver dans les profondeurs de la forêt amazonienne des fragments de poterie, quelques statues et de mystérieux monticules de terre qui lui semblent avoir été façonnés par l’homme.

Le site de Fazenda Atlântica mis au jour par la déforestation en Amazonie, renferme des géoglyphes
Le site de Fazenda Atlântica en Amazonie mis au jour par la déforestation, renferme plusieurs géoglyphes.

Percy Fawcett, convaincu de l’existence d’une vaste cité perdue en Amazonie, va essayer de convaincre les membres de la Société géographique royale de subventionner son expédition à la recherche de la cité Z.

Seulement, la société royale géographique ne prend pas ses récits au sérieux. L’idée dominante qui a fait l’objet d’un consensus jusqu’à la fin des années 1990, résidait dans le fait que l’Amazonie n’était pas en mesure d’abriter une vaste population au sein d’une grande citée, et qu’elle était peuplée uniquement de quelques tribus disséminées dans la forêt.

Mais en 1914, la découverte d’un manuscrit (le manuscrit 512) conservé dans les archives de la Bibliothèque nationale du Brésil va pousser Percy Fawcett à quitter l’armée et poursuivre les expéditions à son propre compte.

Le manuscrit 512 décrit la découverte surprenante d’une vieille cité antédiluvienne dans la région de la serra do Roncador à l’est du Rio Xingu.

Le manuscrit 512 mentionne la découverte d'une cité perdue en Amazonie.
Le manuscrit 512 mentionne la découverte d’une cité perdue.

L’auteure du manuscrit est anonyme, mais raconte l’histoire d’un groupe de bandereirantes, sorte d’aventuriers pillards qui seraient tombés sur une étrange et vaste cité perdue au beau milieu de la forêt amazonienne, dans l’actuel état de Bahia.

Le manuscrit 512 raconte que les aventuriers ont été attirés par curiosité sur le site d’une chaîne de montagnes étincelante et d’une hauteur impressionnante.

Lorsqu’ils atteignirent le sommet, ils aperçurent une colonie qu’ils confondirent d’abord avec l’une des villes côtières du Brésil. En s’en approchant, ils ont découvert qu’il était en fait délabré et abandonné.

La seule entrée de la ville était une triple arcade semblable en apparence aux arcs de triomphe romains, sur laquelle figuraient des inscriptions dans une langue inconnue.

Structure en triple arcade semblable à celle citée à dans le manuscrit 512.
Structure en triple arcade semblable à celle citée à dans le manuscrit 512.

La place de la ville avait un piédestal noir avec une statue d’homme pointant vers le nord et un grand bâtiment à proximité était décoré de reliefs et d’œuvres incrustées représentant des croix, des corbeaux et divers autres modèles.

La place comportait également des « flèches romaines » aux quatre coins. Le portique de la rue principale portait une sculpture en relief d’une figure à moitié nue portant une couronne de laurier.

Il y avait une rivière à côté de la place et après l’avoir suivie, le groupe a atteint une collection de puits de mine où ils ont trouvé des roches infusées d’argent et d’autres inscriptions non déchiffrées.

Quelque part en dehors de la ville, ils ont également trouvé un grand manoir de campagne qui contenait quinze maisons séparées entourant une grande pièce centrale (peut-être un atrium)

Dans l’une des maisons, un des membres de l’équipe aurait même trouvé une pièce d’or gravée d’un garçon agenouillé sur une face et de l’autre d’un arc, une flèche et d’une couronne.

L’ensemble évoque clairement une cité antique romaine ou grecque.

La plupart des historiens réfutent l’existence d’une telle civilisation en Amazonie et ne prennent pas au sérieux le récit du manuscrit 512.

Pour d’autres en revanche, ce manuscrit a renforcé la théorie selon laquelle une ancienne civilisation à la culture gréco-romaine aurait pu exister à une époque reculée au Brésil.

De plus, d’autres éléments viennent appuyer cette théorie.

Tout d’abord, la pierre d’Ingá trouvé à Paraíba en 1598 qui reste à ce jour indéchiffrée. Mais pour les partisans du manuscrit 512, elle contient ce qui semble être des lettres latines.

la pierre d'Ingá trouvé à Paraíba
La pierre d’Inga

Il y a également le récit de l’un des membres de la première expédition européenne à descendre des Andes vers l’Amazonie, le frère Gaspar Carvajal.

L’homme a rapporté dans ses récits avoir aperçu des Indiens à la peau blanche et subi l’attaque d’une tribu de femmes guerrières qu’il associait aux mythiques Amazones grecques.

Mais là encore, les récits de Gaspar de Carjaval n’ont jamais été pris au sérieux par les historiens.

Le cœur de l’Amazonie, un territoire inexploré.

Jusqu’au début du XXe siècle, les universitaires se sont opposés aux thèses de Fawcett. Pour eux, l’Amazonie avec sa chaleur étouffante et ses sols pauvres en nutriments, n’était tout simplement pas en mesure de nourrir la population d’une vaste cité.

Mais afin de prouver le contraire et étayer ses dires, Percy Fawcett se lance en 1920 par ses propres moyens, dans une expédition qui au final tourne mal.

Touché par les fièvres, il doit rebrousser chemin avant de s’enfoncer dans les profondeurs de la zone qu’il a identifiée comme la plus probable pour découvrir la cité perdue.

Ce n’est que cinq ans plus tard qu’il peut à nouveau se lancer sur la piste de la cité perdue de Z, accompagné de son fils Jack et de l’un de ses amis, Raleigh Rimell.

Fawcett est alors un homme avec des années d’expérience en voyage. Il avait emporté du matériel tel que des aliments en conserve, du lait en poudre, des fusils, des fusées éclairantes, un sextant et un chronomètre .

Ses compagnons de voyage ont tous deux été choisis pour leur santé, leurs capacités et leur loyauté mutuelle. Fawcett n’a choisi que deux compagnons afin de voyager plus léger, mais également, offrir un contact moins agressif face aux tribus indigènes, car certaines d’entre elles étaient très hostiles envers les étrangers.

En avril 1925, lui et ses compagnons quittent Cuiabá, la capitale du Mato Grosso, et se dirigent à un bon rythme vers le Haut-Xingu avant d’obliquer vers l’est, vers la Serra do Roncador.

La carte du dernier trajet de Percy Fawcett lors de sa quête vers la cité perdue de Z
Le dernier trajet de Percy Fawcett

Le dernier message de Percy Fawcett avant de disparaitre.

Le 29 mai 1925, alors qu’il se trouve à son camp de base, il adresse un dernier message dans une lettre à sa femme remise par un coureur indigène. Plus tard ce message sera relayé par la presse du monde entier :

« Nous sommes en ce moment au camp […] où mourut mon cheval en 1920. Il ne reste que ses os blanchis. Nous pouvons nous baigner, mais les insectes nous obligent à ne pas nous attarder un seul instant. Il fait très froid la nuit et frais le matin ; mais, vers le milieu de la journée, arrivent la chaleur et les insectes et, jusqu’à six heures du soir, nous souffrons au camp un véritable martyre. Vous n’avez à craindre aucun échec. » C’est le dernier message, la dernière trace que laissera l’expédition.

La première année après ce message, personne ne va véritablement s’inquiéter, Fawcett avait prévenu que s’aventurer dans la forêt amazonienne limite sérieusement les chances de tomber sur une boîte aux lettres.

Mais en janvier 1927, la Royal Geographical Society déclara Fawcett et ses hommes comme perdus, près de deux ans après le dernier message.

Des expéditions pour retrouver les aventuriers sont évidemment lancées dans les années qui suivent. Le Brésil devra même taper du poing sur la table pour empêcher des groupes mal préparés de se perdre dans la jungle pour y disparaître à leur tour.

Parmi ces expéditions, il y a celle de George Dyott en 1928. Avec ses hommes, il commence par emprunter la piste que Fawcett et ses compagnons ont dû normalement suivre après le départ de son camp de base.

Ils parviennent ainsi à un village anaqua, sur le rio Kuliseu, où ils ont la surprise de voir le chef de la tribu portant, suspendue à son cou par une ficelle, une plaque de cuivre ayant appartenu à Fawcett.

Le chef déclare qu’elle lui a effectivement été donnée par Fawcett, qui s’est ensuite un peu plus enfoncé vers l’est avec ses deux amis.

Dyott continue son chemin jusqu’au confluent du rio Kuliseu et du rio Kuluene, où habitent les Kalapalos. Il préfère alors rebrousser chemin, car les Kalapalos se révèlent véritablement hostiles.

Une expédition de 1951 a déterré des ossements humains qui se sont avérés plus tard sans rapport avec Fawcett ou ses compagnons.

En 1998, l’explorateur anglais Benedict Allen est allé s’entretenir avec les Indiens Kalapalo, soupçonné d’avoir tué les trois membres de l’expédition Fawcett. Un ancien des Kalapalo nommé Vajuvi, a affirmé que sa tribu n’avait rien à voir avec la disparition de Fawcett.

Z est-elle un mirage ou Fawcett avait-il vu juste ?

Cité perdue ou non, l’Amazonie reste au début du XXe siècle un espace inconnu, une zone blanche, immense et vide sur les cartes de l’Amérique du Sud. Réputée impénétrable, la forêt conserve tous ses secrets y compris d’éventuelles cités oubliées.

Cependant, de récentes découvertes archéologiques en Amazonie prouvent qu’une ancienne civilisation a bel et bien peuplé la forêt amazonienne par le passé. ( Un sujet abordé en détail par l’auteur Graham Hancock que nous avions abordé dans l’article : Sur les traces d’une ancienne civilisation qui peuplait l’Amazonie )

Situé dans le Haut-Xingu, là où Fawcett a disparu, Kuhikugu est au sens large un vaste ensemble archéologique qui regroupe en tout une vingtaine de villes et de villages répartis sur une superficie qui dépasse les 20 000 km².

Le complexe X11 fait partit d'un vaste ensemble  archéologique qui pourrait être la cité perdue de Z
Le complexe X11 fait partit d’un vaste ensemble archéologique qui regroupe en tout une vingtaine de villes et de villages.

Depuis les années 1990, plusieurs campagnes successives de recherches ont mis en évidence l’existence de profonds fossés et de palissades protégeant différents centres villageois et urbains, reliés entre eux par un réseau de canaux et de routes aussi larges que nos autoroutes modernes.

Mais plus intéressant encore, au cœur de ce territoire interconnecté, se trouve le complexe X11, découvert sur les rives du lac Dourada par l’archéologue américain Michael Heckenberger.

Ce complexe pourrait bien être ce dont à quoi Percy Fawcett a consacré sa vie, car il constitue bel et bien une cité de grande taille, capable d’abriter de 50 à 60 000 habitants.

L’hypothèse selon laquelle, les sols de l’Amazonie ne sont pas assez riche pour l’agriculture et par conséquent pas assez riche pour abriter d’immenses cités a été réfutée avec la découverte de parcelles de Terra Preta.

La Terra Preta utilisé par d'anciennes civilisations a permis de rendre le terre de la forêt Amazonienne cultivable.
La Terra Preta utilisé par d’anciennes civilisations a permis de rendre le terre de la forêt Amazonienne cultivable.

En effet, la composition du sol de la région montre que celui-ci a été transformé par une occupation agricole suffisamment longue pour en avoir modifié les caractéristiques chimiques, dans une zone bien plus fertile que dans le reste de la forêt environnante.

Là encore, la modification des sols, ainsi que la domestication de la forêt amazonienne ont été mis en avant par Graham Hancock dans son livre les clés de la civilisation perdue partie 1. Un sujet que nous avions abordé dans l’article: Sur les traces d’une ancienne civilisation qui peuplait l’Amazonie.

Cependant nous ne saurons jamais ce qui est arrivé à l’expédition de Percy Fawcett a-t-il atteint son but ? est-il mort d’épuisement ? a-t-il été tué ?

Si L’histoire de Percy Fawcett vous intéresse, elle a fait l’objet d’un ouvrage ainsi que d’un film paru en 2016 : The lost city of Z.

Affiche du film La cité perdue de Z retraçant la véritable histoire de Percy Fawcett.
Affiche du film La cité perdue de Z

Percy Fawcett les images authentiques de ses aventures.

Percy Fawcett et ses compagnons les plus fidèles.
Percy Fawcett et ses compagnons les plus fidèles.
Percy Fawcett et un groupe d'explorateur à la recherche de la cité perdue de Z
Le groupe d’explorateur à la recherche de la cité perdue de Z
Percy Fawcett prêt de son camp de base en Amazonie.
Percy Fawcett prêt de son camp de base dead horse point.
Percy Fawcett dans un village indigène
Percy Fawcett dans un village indigène.
Percy Fawcett aux cotés d'indiens
L’explorateur au coté d’indiens.
Michaël

Michaël

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Animé par une curiosité insatiable et un esprit toujours en quête de nouvelles découvertes, j’ai exploré une multitude de sujets captivants. Je m’efforce de proposer des contenus uniques sur des thématiques aussi diverses que les civilisations anciennes, les phénomènes ufologiques, les mystères de la conscience, les expériences de mort imminente, et bien d’autres. J’ai également publié des articles pour le magasine Cerveau & Physique Quantique

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