Est-ce que notre univers est synchronisé ? Est-ce que tout est réellement connecté ? C’est ce que nous apprend la mécanique quantique par l’étrange biais de l’intrication quantique. Seulement, et jusqu’à présent, cette intrication était réservée à l’infiniment petit. Seuls quelques rares scientifiques osent affirmer que tout est connecté, et cela, peu importe l’échelle.
C’est l’idée que défend la Résonance science fondation fondée par le très controversé Nassim Harameim. Cependant ce scientifique autodidacte aux idées nouvelles, a déjà fait parler de lui. En effet, il a émis une hypothèse permettant de résoudre le plus gros problème de la physique connu « la catastrophe du vide ».
La catastrophe du vide est l’un des plus grands désaccords entre la densité d’énergie du vide à l’échelle cosmologique et la densité de vide prédite par la théorie des champs quantiques. Par conséquent, la densité d’énergie du vide prédite par la théorie des champs quantiques est en désaccord avec l’observation cosmologique d’environ 122 ordres de grandeur.
Seulement Nassin Harameim parvient à résoudre cet écart en proposant un modèle holographique. Un modèle très critiqué ou tout est interconnecté, même si l’individualisation existe. Et si Nassim avait raison ?
Un univers synchronisé à grande échelle.
Dans le modèle cosmologique proposé par Nassim Harameim, la masse produit une courbure dans l’espace-temps, en accord avec la théorie d’Einstein. Cependant, dans son modèle, en plus de la courbure de l’espace-temps, l’énergie de masse induit également une composante de couple dans l’espace-temps de sorte que la géométrie de cet espace-temps, se courbe et se tourne.
Les différents modèles de la courbure de l’espace-temps
Par définition, là où il y a une densité élevée de matière comme dans les protons, les planètes, les étoiles, les galaxies et l’univers lui-même, il y aura du spin. Or la conséquence de cette théorie serait d’avoir une cohérence spatiale de la direction de rotation d’une galaxie, et le mouvement moyen de ses voisins proches. En d’autres thermes, l’univers serait synchronisé. Ce qui va à l’encontre du modèle cosmologique standard.
Découverte d’une mystérieuse synchronisation entre les galaxies.
C’est une annonce choc dans le monde de la cosmologie. Cette récente étude publiée dans The Astrophysical Journal, vient confirmer le modèle cosmologique de Nassim Harameim. À savoir un univers synchronisé.
L’étude vient mettre en avant une corrélation entre des centaines de galaxies qui tournent en synchronisation avec les mouvements d’autres galaxies, pouvant être séparées jusqu’à 20 millions d’années-lumière. Ce qui est totalement impossible avec notre modèle cosmologique actuel.
Cependant, ce n’est pas la première fois qu’une incohérence entre les galaxies est observée. Certes, ces dernières années notre vison de l’univers a été perturbé par d’autres contradictions. Ces contradictions sont venues bouleverser notre vision de l’univers.
Il s’avère que les galaxies satellites, qui sont des galaxies naines en orbite autour de plus gros amas, tel que la Voie lactée, sont rigoureusement organisées dans un plan orbital. Elles n’ont pas de mouvement aléatoire autour de la galaxie centrale, mais une rotation orbitale cohérente.
Selon une étude parue dans Science, cette découverte dévoilant une cohérence dans le mouvement des galaxies naines prouve que quelque chose ne va pas avec les simulations cosmologiques standard.
À l’heure actuelle, ces anomalies sont détectées dans les trois galaxies les plus proches. Certes, ce n’est pas une preuve, mais cela laisse entendre que le phénomène pourrait être universel.
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