19/03/2024
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Vivons-nous dans une immense simulation informatique sophistiquée ?

Vivre dans une matrice ? Certains d’entre vous vont trouver cette idée dérangeante, d’autres vont la qualifier d’absurde.

Pourtant, ce point de vue n’est pas aussi improbable qu’il en a l’air. Et cela l’est encore moins, lorsque l’on s’interroge sur notre perception de la réalité.

Car, au final, quelles connaissances avons-nous sur la réalité ? Et si la réalité observable n’était pas ce qu’elle semble être.

Certes vivre dans une matrice est un concept issu de la science-fiction, qui n’est pas sans rappeler le célèbre film Matrix.

Mais de nos jours, les thèses les plus incroyables circulent dans les milieux scientifiques.

Vivre dans une réalité virtuelle, fait partit de ces idées défendues par certains spécialistes dans le domaine.

Ce concept a été popularisé par le philosophe Suédois Nick Bostrom. Il fut l’un des premiers à émettre sérieusement l’hypothèse, que nous pourrions TOUS vivre dans une simulation informatique sophistiquée. (source : The Philosophical Quarterly )

Elon Musk, évoque régulièrement ce concept. Mais il n’est pas seul, le célèbre astrophysicien Neil De Grass Tyson l’appelle « la théorie de la simulation« .

Quelles sont nos chances de vivre dans une matrice ?

David Kipping, astronome de l’Université de Columbia, a tenté de répondre à cette question en ayant recours au raisonnement bayésien. Vivons-nous dans la réalité première ou dans une simulation ?

« Si les civilisations post humaines ont finalement à la fois la capacité et le désir de générer de telles simulations de type Bostrom, alors le nombre de réalités simulées dépasserait largement la réalité de base unique, indiquant ostensiblement une forte probabilité que nous ne vivions pas dans ladite réalité de base. »

Mais, les résultats de l’étude de David Kipping, attribuent des probabilités identiques aux deux scénarios. En d’autres termes, il y a 50% de chance pour que nous évoluions dans la réalité de base.

Cependant, ces résultats pourraient fortement différer si l’être humain était en mesure de créer une simulation incluant des êtres conscients.

« Il s’avère que si l’humanité commence à produire de telles simulations, cela changerait radicalement les chances et rendrait très probable le fait que nous sommes simulés. »

Source: Départment of Astronomy

Or aujourd’hui, certains scientifiques n’hésitent pas à avancer le fait, que notre technologie et nos progrès dans l’intelligence artificielle, pourraient nous amener, à créer nous-mêmes, des simulations contenant des « êtres numériques ».

Cependant, si les statistiques valident la théorie de la simulation à 50%, cela vaut la peine de chercher des indices qui seront en mesure d’apporter du crédit à cette hypothèse.

Existe t-il des preuves que nous vivons dans une simulation ?

Pour corroborer l’hypothèse que nous évoluons au sein d’une matrice, certains scientifiques sont à la recherche de « bugs » dans notre réalité.

Or, le temps, l’espace et la matière sont des concepts tellement bouleversés aujourd’hui par la physique qu’il y a lieu de s’interroger sur leur objectivité même.

« L’espace et le temps sont les modes par lesquels nous pensons et non les conditions dans lesquelles nous vivons » A. Einstein

Dans l’ouvrage la physique de la conscience, le chercheur au CNRS Philippe Guillemant défend l’idée qu’il existe une « vraie » réalité au-delà de l’espace et du temps.

Livre la physique de la conscience

La physique de la conscience bouleverse notre conception de la réalité.

Car au final, que savons-nous de notre réalité ? Cela peut paraitre surprenant, mais la matière baryonique qui compose notre réalité ne représente que 4.9% d’une réalité qui nous dépasse.

Nous ne savons pas ce que sont réellement 95% de l’univers. Enfin si, il y a 27% de quelque chose baptisé matière noire. Et 68% de ce que les physiciens appellent énergie noire, une énergie qui expliquerait l’expansion de l’univers.

Mais parmi ces 5% qui constituent notre vision du réel, subsistent des incohérences qui remettent en cause le fait que nous vivons dans la réalité première.

1 l’espace-temps se courbe.

Le premier « bug » de notre espace-temps, se trouve dans la courbure de celui-ci.

Einstein l’a démontré, la gravité déforme l’espace-temps. Le fait, que les rayons du soleil ne se déplacent pas en ligne droite constitue comme un « bug » dans notre vision de la réalité.

Tissus de l'espace temps

Notre réalité peut s’étirer, se courber, se tordre

L’existence des trous noirs autorise la distorsion de l’espace et du temps. Par conséquent, nous évoluons dans une réalité qui peut s’étirer, se courber, se tordre.

2 Notre réalité est pixelisée.

Le deuxième « Bug » se trouve dans la pixellisation de l’espace à une très petite échelle.

La pixellisation de notre réalité peut être comparée à l’image d’un écran de télévision où l’unité de base (le pixel), permet de mesurer la définition d’une image numérique.

Notre réalité se trouve également pixélisée par l’impossibilité de diviser l’espace en dessous de la longueur de Plank. Cette unité de mesure, pourrait se comparer à la limite de notre résolution.

Cependant, il n’y a pas que l’espace qui est pixélisé, les grandeurs physiques le sont également.

Cela signifie qu’à cette échelle si l’on a une précision sur l’impulsion d’une particule, on a forcément une imprécision sur sa position et vice-versa.

Par conséquent en dessous de la longueur de Planck, il n’y a plus de distances, parler de longueur n’a plus de sens.

Mais quelle réalité peut avoir un espace- temps ainsi pixélisé?

3 La matière n’existe pas, elle n’est qu’une sorte d’illusion.

Le troisième « Bug » nous ramène au fait que la matière n’existe pas au sens où il n’existe pas de « grain de matière »

C’est un fait, plus on observe l’infiniment petit pour tenter de décortiquer la matière, et plus on s’aperçoit que celle-ci correspond à des vibrations.

À tel point que les dernières théories en physique, que ce soit la théorie des cordes, ou la théorie de la gravité quantique à boucle, viennent remplacer toute la matière par des vibrations.

Il faut savoir que l’aspect solide de la matière, vient uniquement de la force électromagnétique générée entre le noyau et l’électron.

Au final, toute la matière qui constitue notre réalité, est une sorte d’illusion constituée à 99,9999999999 % de vibrations.

Par conséquent, notre réalité se construit à partir de vibrations.

4 Le vide n’est pas vide.

Le quatrième « Bug » dans notre façon de percevoir la réalité trouve son origine dans l’énergie du vide. Comment un espace vide peut-il contenir de l’énergie ?

Imaginez un volume de vide dans l’espace, dont on a retiré tout l’hydrogène et toute autre particule qui pourrait s’y trouver. Ce volume d’espace vide de matière est toujours bouillonnant d’activités.

En effet, le vide est instable et plein d’énergie de brève durée. Le vide est de l’espace qui vibre, et c’est ce qui lui donne son énergie.

Pour comprendre cette illusion, on peut observer qu’à une échelle de 10 -12 cm l’espace-temps parait lisse et vide d’activités, il commence à fluctuer à 10 -30 cm. Mais à l’échelle 10 -33 cm, l’espace-temps bouillonne d’énergies.

illustration des fluctuation vide quantique

Les fluctuations du vide quantique nous apprennent que le vide est rempli d’énergie.

On appelle ce phénomène « fluctuations du vide quantique ». Ces fluctuations sont à l’origine de la création des particules réelles.

5 Le temps n’existe pas.

Le cinquième « Bug » dans notre perception de la réalité se trouve au cœur même du temps. Notre perception familière du temps, est de considérer qu’une réalité unique se construit dans le présent.

Mais cette vision est fausse. Parce que deux observateurs ne peuvent se mettre d’accord sur la datation du présent.

À partir du moment où ils sont très éloignés l’un de l’autre, ou très proche, mais se déplaçant à une très grande vitesse l’un par rapport à l’autre. Leurs présents seront différents l’un pour l’autre.

L’expérience de pensée des jumeaux de Langevin décrit bien ce paradoxe, qui a pu être démontré expérimentalement à l’aide d’horloges atomiques.

Toutes ces observations, ne constituent pas la preuve que nous évoluons au sein d’une simulation. Mais elles nous donnent matière à réfléchir sur la véritable nature de ce que nous considérons comme notre réalité.

Comment agit la conscience dans la matrice ?

Si nous sommes le fruit d’une simulation, comment notre conscience interagit-elle dans ce monde?

Dans les années 1955-1960, le neurophysiologiste australien Sir John Eccles, qui devait recevoir en 1963 le prix Nobel de médecine pour ses travaux sur les jonctions synaptiques au niveau du cortex, émet une hypothèse intéressante.

En effet, dans son ouvrage « Les Bases neurophysiologiques de l’esprit », il émet l’idée que le cerveau n’est qu’un simple ordinateur qui transmet de l’information.

Par conséquent, pour Sir John Eccles, le logiciel, le programme, se trouve ailleurs.

Eccles émet l’hypothèse qu’il existe un champ de particules non encore détectées par les instruments de la physique, champ de particules qui serait précisément le programme, le logiciel de l’ordinateur-cerveau.

L’idée que le siège de notre conscience se situe en dehors de l’espace et du temps constitue la base de ce que certains scientifiques défendent aujourd’hui à travers la science post matérialiste.

De plus, l’hypothèse d’un cerveau récepteur de conscience, permet de lever le voile sur un certain nombre de phénomènes Psi ou encore les EMI.

Vivre dans une matrice, la théorie de l’univers holographique.

Les idées d’Eccles ont donné naissance à différents modèles de conscience, dont les plus populaires sont les idées de Karl Pribram et de David Bohm, mais également celle de Regis Dutheil, moins connue, mais tout aussi intéressante. Voir notre article (Et si la mort n’était qu’un passage dans un autre espace-temps)

La vision scientifique de ces hommes implique un véritable changement de paradigme, une nouvelle conception de l’Univers associée à un modèle de conscience.

Karl Pribram pense que ce que nous appelons le réel n’est qu’une projection holographique d’un univers fondamental, le domaine de la fréquence où le temps et l’espace sont effondrés et où il n’existe que des ondes qu’il situe dans une autre dimension.

Les idées de David Bohm, exprimées dans un autre langage, l’ordre implicite et l’ordre explicite, sont tout à fait comparables à celles de Pribram.

Quant à Regis Dutheil, son modèle de conscience supra-lumineuse considère l’esprit comme un champ de tachyons (particule hypothétique supralumineuse) ou la matière superlumineuse, est située de l’autre côté du mur de la lumière dans l’espace-temps supralumineux.

Selon ce théorème, notre Univers sous-lumineux n’est qu’une projection holographique de l’Univers fondamental de l’information.

« Cette projection s’effectue par l’intermédiaire du cortex, qui agit comme un filtre en ne laissant passer qu’une toute petite partie de l’information et de la signification disposées suivant des séquences causales dans un temps entropique qui s’écoule. » R Dutheil

Regis Dutheil soutient la thèse selon laquelle le corps de l’homme, ce corps de chair que nous habitons, pourrait n’être qu’un hologramme formé de particules allant moins vite que la lumière.

Comment dessiner physiquement les organismes vivants dans la matrice ?

Les implications de ces théories sont colossales et ouvrent la voie à de nouvelles possibilités. Mais ces nouvelles pistes à explorer, reposent sur l’existence d’un niveau de réalité plus profond.

Cependant, si l’on spécule sur le fait que nous vivons dans une simulation, dans quelles conditions se forment les organismes vivants, qu’est-ce qui leur donne leur apparence physique ?

Pourquoi avons-nous cette apparence, pourquoi 5 doigts et non 4 ou 6 ? Pourquoi lorsque vous plantez le bulbe d’un rosier, vous êtes certains que ce qui sortira de terre aura l’apparence d’un rosier . Si les organismes vivants possèdent une structure bien définie, c’est grâce à la morphogénèse.

La morphogénèse est l’ensemble des lois qui déterminent la forme, la structure des tissus, des organes et des organismes. Mais où se trouve cette information qui régit le développement des tissus, des organes et des différentes parties du corps.

Le débat sur la morphogénèse.

L’explication conventionnelle de la base évolutive de la morphogénèse considère que l’information est transmise par les gènes. Or, il faut savoir que la morphogénèse est un sujet qui fait débat.

Le biologiste Rupert Sheldrake cite dans son livre réenchanter la science :

« On surévalue les gènes dans la mesure où ils ne codent, ni ne programment la forme et le comportement des organismes vivants »

Il prend pour exemple l’algue Acetabularia, un organisme unicellulaire qui, séparé de son noyau contenant les gènes est en mesure de se reformer.

Cet exemple à travers un organisme unicellulaire, montre que la morphogénèse peut avoir lieu sans les gênes.

Le biologiste émet l’hypothèse qu’il existe un champ, qui contiendrait de l’énergie ou de l’information sans être constitué de matière.

L’information issue de ce champ, contiendrait toutes les indications liées à la morphogénèse. Rupert Sheldrake nomme ce champ, le champ morphogénétique.

Livre réenchanter la science

Rupert Sheldrake un biologiste qui remet en cause les bases mêmes de la recherche fondamentale.

Cependant, la critique que l’on peut adresser à Scheldrake est que ces champs n’ont aucun substrat physique. Il en est d’ailleurs conscient, puisqu’il déclare dans son ouvrage:

«Il semble s’agir de nouveaux types de champs encore inconnus en physique» 

Le champ vital de Burr.

Jusqu’ici, la nature physique d’un champ morphique n’a pas été élucidée et reste hypothétique.

Mais Harold Saxton Burr, professeur d’anatomie à l’université de Yale et rédacteur en chef du Yale]ournal of Bio/ogy and Medecine, a poursuivi des travaux passionnants pendant plus de quarante ans.

Les résultats obtenus par Burr et ses collaborateurs démontrent de manière indiscutable qu’il existe autour de tout être vivant, universellement, un champ électrique entourant le corps.

Il est ainsi possible de dresser la cartographie d’un organisme vivant, en déplaçant les électrodes disposées à quelques centimètres de la peau.

Burr nomma ce champ «Champ Vital ». Le Champ Vital est une sorte d’image électronique exacte du soma (ensembles des cellules somatiques), où certains détails peuvent être détectés avant d’apparaître somatiquement.

Le champ de Burr semble être en corrélation avec « le champ morphogénétique » de Shedrake.

Mais le champ de Burr est également en raccord avec l’idée qu’il existe quelque part un champ originel, qui est reproduit par résonance morphique et qui permet aux organismes vivants d’aboutir à des formes particulières, propres à chaque espèce animale, végétale ou humaine.

Parallèlement au champ de Burr, les biophysiciens soviétiques considèrent l’effet Kirlian comme l’existence autour du corps, d’une structure énergétique qu’ils appellent bioplasma.

Photographie à effet Kirlian

Photographie à effet Kirlian

Or, les biophysiciens et les biochimistes soviétiques qui ont étudié l’effet Kirlian lui ont découvert une propriété particulièrement intéressante.

Si l’on prend une électrophotographie d’une feuille entière, puis que l’on coupe un tiers de la feuille pour reprendre une deuxième électrophotographie de la feuille ainsi mutilée, on s’aperçoit que persiste pendant un moment une image de la partie coupée, sous forme de «fantôme» dessinant ainsi les contours complets de la feuille.

Vivre dans une matrice, la formation du corps holographique.

Ainsi, il existe une sorte de matrice énergétique chez tous les êtres vivants, qui a la même forme que l’organisme vivant bien qu’étant indépendante de lui.

Par ailleurs, il est important de noter qu’environ 60 à 80% des individus ayant fait l’expérience d’une amputation ressentent la sensation que leur membre est toujours relié à leur corps. Cette sensation est connue sous le nom de membre fantôme. Cette sensation inexplicable rappelle étrangement le champ Morphogénétique de Rupert Sheldrake.

Pour conclure, le Soviétique Adamenko a montré que les points d’acupuncture et les méridiens chinois correspondaient à des intensités lumineuses et colorées de la photographie Kirlian. Ces recherches sont reprises par le professeur Korotkov (Voir notre article: L’effet Kirlian, la preuve de l’existence du Biofield selon le Dr Korotkov)

canaux d'énergie des méridiens

Le système GDV et l’utilisation du logiciel développé par le professeur Kortotkov permet de faire la corrélation entre l’imagerie à effet Kirlian et les canaux d’énergie des méridiens.

Or, des recherches poursuivies en France, au service de physique et de biophysique de la Salpêtrière par le Pr de Vernejoul, ont montré que ces points présentaient sur la peau une résistance électrique.

Ainsi, il semble exister une structure, encore très mal connue, non pas superposée, mais intriquée à la structure biologique classique.

Dans son ouvrage la médecine supralumineuse, Régis Dutheil va nommer cette nouvelle structure, «  le corps électrique ».

Dans sa théorie de l’homme super lumineux, le physicien considère le corps électrique comme étant en relation physique avec le champ de matière tachyonique superlumineux.

D’après ce physicien, c’est l’ensemble de ces deux corps intriqués, qui constituent l’hologramme sous-lumineux, constituant notre réalité. (Source Médecine supra lumineuse)

Livre la médecine superlumineuse de Regis Dutheil

Cet ouvrage est une redéfinition de notre univers, de notre conception de la vie

Ainsi, selon cette théorie, notre corps physique serait à l’image d’un hologramme, crée par l’interaction de notre corps électrique avec le champ de particules supralumineuses.

Vivre dans une matrice, l’univers cache-t-il un code ?

Nous avons abordé la théorie de la simulation d’un point de vue biologique. Mais certains scientifiques recherchent la preuve que notre réalité est simulée à travers un « code ».

Les récentes avancées dans le domaine de la physique font évoluer cette discipline vers de nouveaux concepts comme « la physique de l’information« . La physique de l’information avance le fait que tout dans l’univers est mesurable ou quantifiable.

Or, toutes ces données constituent un ensemble d’information comparable à du codage informatique.

Cependant, si les mathématiques sont la base de toute réalité, existe-t-il un « code source » de tout ce qui existe sur Terre, jusqu’aux confins de l’univers ?

Existait-il une information originelle qui était déjà là avant le Big Bang ?

Pour répondre à cette question, il faut chercher dans les vestiges du Big Bang, au cœur du rayonnement fossile.

Or, l’observation de ce rayonnement fossile, dévoile de petites fluctuations dans son spectre, qui proviennent de petites variations de densité. Pour certains ces variations ne sont pas le fruit du hasard.

En 2015, Juan Maldacena et Nima Arkani de l’institute for Advanced Study de Princeton, ont affirmé que le rayonnement fossile porte la trace d’un « encodage » effectué dès les tout premiers instants d’existence de l’Univers. (Source: Cornell University )

Seth Lloyd, professeur au MIT cite dans son livre « programming The universe »

Toutes choses dans l’univers est faite de bits d’information des 0, des 1. Les atomes et les électrons ne sont rien d’autre que les bits organisés au sein d’un programme.

vivre dans une matrice selon Seth Lloyd

vivre dans une matrice selon Seth Lloyd

De plus en plus de scientifiques, considèrent l’univers comme une sorte d’énigme prodigieuse. Arriverons-nous à l’élucider ?

Seulement percer le secret de l’univers pourrait avoir des conséquences philosophiques considérables.

Réalité ou simulation ?

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Sources: The Philosophical Quarterly / Départment of Astronomy / La physique de la conscience / Réenchanter la science / Médecine supralumineuse / Cornell University

Michaël

Michaël

Auteur

Animé par une curiosité insatiable et un esprit toujours en quête de nouvelles découvertes, j’ai exploré une multitude de sujets captivants. Je m’efforce de proposer des contenus uniques sur des thématiques aussi diverses que les civilisations anciennes, les phénomènes ufologiques, les mystères de la conscience, les expériences de mort imminente, et bien d’autres. J’ai également publié des articles pour le magasine Cerveau & Physique Quantique

Je collabore avec des outils d’intelligence artificielle qui me soutiennent uniquement dans le processus de rédaction pour optimiser la clarté et le confort de lecture.

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